On trouve tout sur internet, sur les forums, en parcourant les blogs ou en lisant les sites spécialisés, notamment lorsque le sujet recherché a un rapport avec l’informatique ou le numérique. C’est encore plus vrai dès qu’il s’agit de sujet plus technique, et qu’on souhaite « bidouiller ». En effet, il est plus facile de faire un copier-coller depuis un site que de recopier les lignes de commandes écrites sur papier. Mais comme j’ai pris le train, c’était l’occasion de lire.
J’ai donc d’abord lu Planète Linux. J’ai hésité à prendre le magazine spécial Ubuntu mais ça sera peut-être pour une prochaine fois. Alors que trouve-t-on dans ce magazine ? Des petites news, des tests de distributions Linux, des présentations de hardware et des mises en avant de logiciels. Il y a également des dossiers tuto, avec en prime des lignes de codes à recopier.
L’intérêt de ce type de magazine est surtout pour moi de découvrir des choses que je n’aurai peut-être pas cherché par moi-même. En lisant un article, on va peut-être découvrir l’existence de ce petit logiciel bien utile mais auquel on n’avais jamais pensé.
Le seul bémol est qu’à aucun moment je n’ai trouvé les fameuses trois lettres les plus importantes dans l’univers du libre : GNU. Et c’est loin d’être une exception, que se soit dans les magazines ou sur internet. La mention « GNU » est bien souvent absente. Pire encore, les gens ne connaissent pas toujours l’existence et la signification de ce nom. Toutes les distributions appelées « Linux » sont en réalité des distributions GNU/Linux. Je vous invite à lire l’explication complète sur le site officiel de GNU.
En plus de ce magazine, j’ai pris le journal Le Virus Info. Je crois que c’est la première fois que j’achète un journal comme ça, avec du vrai papier qui n’est pas plastifié. J’ai l’impression de lire Le Monde ou Libération, sauf que là le sujet me plaît. Évidemment, lorsqu’on parle informatique, hacking, bidouille, jeux vidéo et vie privée, ça m’intéresse ! Je savais à peu près à quoi m’attendre – la mention « avec des morceaux de Pirates Mag » m’ayant tout de suite convaincu – et je peux dire que je n’ai pas été déçu. La plupart de mes centres d’intérêt se retrouve dans ce journal, le tout imprimé sur du papier recyclé. Autre point positif, il n’y a aucune publicité ! Alors oui, j’aurai en effet pu trouver une partie de ces informations sur Numérama ou NextInpact, sites que je consulte quotidiennement, mais pas forcement avec le même confort de lecture.
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